Après un rejet en première lecture, cette assemblée doit se prononcer une nouvelle fois sur le projet de loi de programmation des finances publiques. Ce projet de loi a été rejeté car nous sommes opposés non pas à la programmation, au contraire, mais à son orientation, c'est-à-dire à l'application d'une logique avant tout comptable, alors que l'élaboration de ce budget devrait d'abord répondre aux besoins des Français.