Il s'agit d'un amendement similaire à celui qu'a brillamment défendu Mme Garin. En France, les risques psycho-sociaux progressent sensiblement. C'est un fléau qu'il faut reconnaître dans cette future loi : 34 % des chômeurs souffrent de troubles psycho-sociaux, contre 16 % des personnes en emploi. L'État doit prévoir les moyens adéquats, mais aussi former les travailleurs du service public de l'emploi sur ces questions extrêmement importantes.