Il fait écho à nos débats d'hier au sujet de l'amendement que nous avons repris et retravaillé avec Arthur Delaporte, portant sur la notion d'emploi de qualité. Il nous a été proposé par le Secours catholique qui, comme d'autres associations, craint que ce projet de loi, qui obéit à une logique du plein emploi à tout prix, ne contribue à la perte de sens du travail et au développement d'emplois précaires, avec des conditions de travail dégradées et des horaires difficiles. Nous nous faisons le relais de cette crainte et nous souhaitons également rappeler que la responsabilité de garantir à nos concitoyens des emplois de qualité revient à l'État comme aux entreprises.