Il vise à préciser que l'accompagnement du demandeur d'emploi requiert son consentement. Cela relève de l'évidence : l'accompagnement ne peut donner des résultats que si l'intéressé l'a souhaité et s'est inscrit de son plein gré. La contrainte vouera à coup sûr l'accompagnement à l'échec.