Monsieur Le Maire, vous récusez « cette idée qu'il y a un appauvrissement de la société française ». Est-ce à dire que les centaines de milliers de personnes qui doivent sauter des repas n'existent pas pour vous ? C'est pourtant le cas d'une personne sur trois désormais dans notre pays. Est-ce à dire que toutes celles qui allongent les files de l'aide alimentaire n'existent pas non plus pour vous ? Nos concitoyens ont faim et, dans quelques semaines, ils auront froid faute de pouvoir payer le chauffage.