Nous n'avons pas recherché les plus anciennes molécules dans notre étude car nous disposions déjà des éléments sur leur niveau de fond. Mais nous pourrions le faire, car nous conservons à Orléans des échantillons qui ont été prélevés dans les années 2000 et qui nous permettent de « remonter le temps ».
Je vous ai indiqué que nous allions redoser des molécules sur les trois années à venir et nous nous demandons lesquelles il faut retenir. Faut-il choisir les plus toxiques, les plus fréquemment détectées ? Les plus anciennes, puisqu'on les retrouve encore et que l'on sait qu'elles passent dans l'alimentation ? On retrouve des lots contaminés par le lindane ; je pense qu'il y aurait un intérêt à redoser ces molécules pour comparer avec les concentrations des lots plus anciens.