Nous ne sommes simplement, et c'est déjà beaucoup, les représentants du corps social. Ainsi, je ne dispose pas de l'expertise technique pour vous répondre. Je souhaite que nous puissions exercer la même mission sans cette arme, en offrant peut-être plus de sécurité pour celui qui subit son impact. Des études et des tests sont effectués de manière permanente, par exemple à Saint-Astier, pour nous assurer qu'il n'y a pas de risque létal lors de l'utilisation de nos matériels d'emploi.
Nous ne pouvons donc pas être catégoriques en exigeant le retour de l'ancien matériel. Nous avons l'espoir que la technologie permettra d'obtenir les mêmes effets avec moins de risques de blessure. Mais j'ignore si nous disposons déjà de ce nouveau matériel sur nos étagères.