Vous avez élaboré un plan qui prend en compte tous les blessés, qu'ils soient d'active, de réserve ou anciens combattants ; toutes les blessures, physiques ou psychiques ; tout le parcours, de la blessure à la réhabilitation ; et tous les aspects du quotidien, des démarches administratives à la situation de famille. L'inversion de la charge de la preuve, l'application de principes comme le « dites-le-nous une fois » ou la présomption de bonne foi vont grandement faciliter l'accès aux droits pour nos blessés. Nous tenons à vous remercier pour ce plan ambitieux.
S'agissant de la phase de réhabilitation, le plan entend augmenter la part des blessés dans les emplois réservés des forces armées. Quel est la part que vous comptez atteindre ? Quant aux emplois réservés dans les collectivités locales, ils existent déjà. Comment comptez-vous améliorer le dispositif et faire comprendre aux collectivités la chance qu'elles ont de pouvoir recruter un blessé de guerre ?