L'amendement vise à imposer une proportion minimale d'achats qualitatifs et responsables, afin d'orienter la commande publique vers des matériaux bénéficiant d'une indication géographique représentative du patrimoine français.
Certaines collectivités se fournissent en matériaux provenant d'autres continents et ne privilégient donc pas des matériaux français. En choisissant des partenaires lointains, ces collectivités provoquent l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, au détriment, qui plus est, du savoir-faire national qu'il convient de valoriser. Si nous voulons atteindre nos objectifs de décarbonation, la commande publique doit favoriser les circuits courts et l'aspect local.