Cet amendement est assez drôle, car il contredit exactement le précédent. Appliqué littéralement, il bénéficiera à l'ensemble des entreprises allemandes établies à quelques kilomètres de l'Alsace, qui jouent de toutes les zones frontalières : au lieu de l'excellence française proposée par des entreprises situées à Rennes ou à Toulouse, ce sont celles de Kehl, de Stuttgart ou de Karlsruhe qui seront choisies. Merci pour elles !