Les dispositions ne peuvent pas se limiter aux bâtiments publics au risque de donner l'impression aux Français que nous ne nous soucions que de notre pré carré d'élus locaux. Les bâtiments privés, qui ont subi d'importantes dégradations lors des émeutes, doivent aussi en bénéficier. Les commerçants non seulement ont été les premières victimes des émeutes mais ils sont aussi confrontés à la réticence des assureurs. Nous devons nous préoccuper des Français qui se retrouvent souvent dans la difficulté.