Monsieur le ministre, les sénateurs vous ont dit à juste titre que vous pourriez aller au-delà de 1 million, puisque la réglementation européenne vous permet d'aller jusqu'à 5 millions.
L'enjeu, en dérogeant aux quatre semaines de publicité, est de gagner du temps ; cela n'empêche pas la mise en concurrence. Souvent, les dégradations elles-mêmes ont fait l'objet d'une large publicité ; ce sera également le cas des décisions budgétaires prises par les conseils municipaux à leur sujet. Il serait donc opportun de relever le seuil envisagé.