Nous nous sommes longtemps plaints de l'abondance des aides versées aux banlieues et aux quartiers urbains et de leur faiblesse pour la ruralité. Progressivement, on s'est aperçu que la révolte grondait également dans les territoires périphériques ruraux.
Les collectivités territoriales doivent financer de plus en plus d'études et recruter de plus en plus de personnes en ingénierie pour ne serait-ce que concourir à l'obtention des aides. Les moyens que les collectivités doivent ainsi déployer réduisent beaucoup leur autonomie.
Les critères d'éligibilité à la dotation pour la protection de la biodiversité concernent certaines zones protégées, mais ils laissent de côté les réserves mondiales de biosphère de l'Unesco : je souhaitais soumettre cette question à votre réflexion.