Monsieur Bourlanges, vous avez dit qu'à trente, on ne serait jamais d'accord. Il faudrait donc prendre des décisions sans être d'accord, mais aux dépens de quel pays ?
Comme nous l'avons déjà dit, nous ne contestons pas seulement la légitimité et la représentativité de cette consultation « citoyenne » mais nous considérons aussi que certaines de ses conclusions portent atteinte à notre souveraineté nationale et, de ce fait, outrepassent les processus démocratiques nationaux, au premier rang desquels le suffrage populaire.