Dans la circonscription dans laquelle je suis élue se trouve la plus grosse usine Renault de France. Depuis des années, les salariés ont peur pour leur avenir. Ils attendaient de ce projet de loi des réponses sur l'avenir de la filière.
Je rappelle qu'un tiers des emplois ont disparu : si la baisse continue au même rythme, 70 000 emplois sont menacés en dix ans. Dès lors qu'on ouvre le chantier de la commande publique, je ne comprends pas pourquoi on ne se permet d'aller un peu plus loin. C'est l'un des secteurs prioritaires pour réussir tout ce que nous avons à faire.