Nous sommes, nous aussi, opposés à de telles dispositions, très complexes pour les entreprises. Cela revient à leur demander de faire en permanence leur inventaire, quand elle n'en réalise actuellement qu'un en décembre. Elles ont autre chose à faire – créer de la richesse par exemple. Nos sous-amendements visaient à atténuer les effets, trop radicaux, de l'amendement n° 663 rectifié .
Je me réjouis donc par avance du rejet de ces amendements. Ils sont caractéristiques de comportements politiques hors sol et d'une méconnaissance du monde des entreprises, déjà sursollicitées par les 400 000 normes imposées par la Macronie.