Je comprendrais éventuellement que vous ayez des préventions sur les autres alinéas de l'article, monsieur Leseul, – même si m'y opposerais avec verve –, mais pas sur celui-ci. Actuellement, le goudron que vous évoquez doit être brûlé à 850 degrés. Mais s'il ne reste pas sur la plateforme – Grandpuits, Port-Jérôme que j'avais effectivement oubliée, Roussillon en Isère ou Drusenheim dans le Bas-Rhin –, il doit être transporté pour être emmené dans un incinérateur. Avec cet alinéa, nous réduisons objectivement et sans conteste le risque : au lieu de sortir de la plateforme, le goudron reste en circuit fermé.