Bien sûr, le coût des dégâts ne sera pas neutre, les réflexes pavloviens n'étant d'ailleurs jamais très loin en la matière. Pour certains, faire payer la minorité de casseurs condamnés suffirait pour faire face aux dégâts. Cette idée est sans doute médiatiquement intéressante, mais elle n'en demeure pas moins mathématiquement irréaliste. Pour d'autres, c'est le contribuable qui devrait être immédiatement sollicité.