J'ajoute qu'aucun geste politique ne vient non plus répondre à un phénomène que subissent aussi bien les personnes qui se sont révoltées que celles qui ont subi les révoltes : la dégradation profonde de nos services publics. Je fais ici référence à ce sentiment d'abandon, que l'on retrouve à la fois dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville…