L'amendement de ma collègue vise à inscrire dans le projet de loi d'habilitation le principe selon lequel le coût des réparations ne sera pas supporté par les Français sous forme d'impôts ou de taxes. Cette disposition complète très bien l'article 3. C'est l'occasion de voir dans quel camp chacun se situe : soit dans celui qui défend le principe des travailleurs-payeurs, soit dans celui qui défend le principe des casseurs-payeurs.