Monsieur Dupont-Aignan, je ne m'en étonne pas, car c'est votre habitude, mais vous avez raté ce matin le moment où j'ai prévenu ceux qui prendraient le parti de l'outrance que je leur répondrai dans la même veine. Vous entendre lancer un appel à la concorde nationale en regrettant que nous n'ayons pas créé les conditions d'une union de la représentation nationale, comme si les solutions étaient partagées sur tous les bancs, est pour le moins étonnant.