C'était l'un des deux arguments de la rapporteure et j'y adhère. Son second argument fait valoir que vous supprimeriez l'un des critères de droit commun du référé, qui suppose deux conditions : le doute sérieux et l'urgence. En l'absence d'urgence, il n'y a pas de raison de donner la priorité à certains actes judiciaires au détriment d'autres. Conservons le droit commun, qui s'applique à ces deux critères.