Nous le disons haut et fort : jamais nous ne céderons au chantage ni aux menaces de Poutine. Quant à ceux qui persistent à se gargariser de son régime, je les invite à se rappeler le premier mot de notre devise nationale. Mesdames et messieurs les députés, la liberté n'est pas un vain mot que l'on se contente d'invoquer lors des meetings, mais un principe à faire vivre, à défendre quand il est en péril !