En 2018, dans son rôle de soutien au développement de la vie associative, le Parlement a fait le choix d'abonder historiquement, à hauteur de 25 millions d'euros, le FDVA. Ce fonds a de ce fait connu une extension de ses missions de soutien à la vie associative car il finance désormais la formation des bénévoles au sein des associations et leur fonctionnement ainsi que leurs projets innovants, pour un total d'environ 50 millions d'euros. Néanmoins, il convient de noter que les seuils minimums de subventions diffèrent selon les régions. Ainsi, dans la région Centre-Val de Loire, le montant minimum alloué s'élève à 1 000 euros, contre 5 000 euros en Île-de-France. Il est important de souligner qu'au sein d'une même région, par exemple l'Île-de-France, les départements ne sont pas toujours d'accord concernant ce seuil minimum. Les Yvelines souhaiteraient réduire ce montant à 3 000 euros, tandis que Paris souhaite l'augmenter à 10 000 euros. Tout cela aboutit donc à un statu quo. Dans cette optique, je souhaite connaître votre avis sur ces seuils minimums de subventions, qui peuvent parfois écarter les petites associations. Enfin, les choix des thématiques à soutenir pourraient aussi être décidés en concertation avec les élus locaux.