Cela implique enfin de promouvoir l'unité du monde libre. Aujourd'hui, rien ne peut remplacer l'Otan. Sans l'aide américaine, qui représente 70 % de l'assistance militaire collective à l'Ukraine, les chars russes tremperaient probablement leurs chenilles dans le Boug, aux frontières de la Pologne. Notre présence au sein du commandement intégré de l'Otan est la meilleure assurance que nous puissions apporter à nos amis d'Europe centrale, qui savent hélas que sans les États-Unis, leur protection serait bien fragile. Qu'on se garde d'invoquer à tort les mânes du Général de Gaulle…