Vous avez fait un plaidoyer en faveur de l'outre-mer que nous avons bien noté, avec des informations importantes. Lorsque nous nous sommes déplacés en Martinique, nous avons rencontré un certain nombre de petits producteurs à qui l'organisation de la filière, à partir de groupements, apparaît comme étant une forme d'accaparement de moyens et des aides qui peuvent être apportés par les gros producteurs et comme étant des éléments qui ne leur permettent pas de vivre. Qu'en pensez-vous ?
On nous a présenté le système d'aides européennes, le programme d'options spécifiques à l'éloignement et à l'insularité (Posei), davantage comme un système de rentes qui favoriserait les principaux producteurs locaux, et pas la production locale. Quelle est votre appréciation ?