Notre budget est d'à peu près deux millions d'euros. Il est constitué de plusieurs cotisations. Les producteurs de bananes des Antilles cotisent à hauteur d'à peu près 400 000 euros, les associations pour la promotion et le développement de l'industrie, les associations des moyennes et petites industries (MPI) en Guyane et l'Association pour le développement industriel de la Réunion (ADIR) cotisent à peu près à la même hauteur. Les filières animales dédiées à la production de viande, les producteurs de sucre en Guadeloupe et à La Réunion cotisent dans les mêmes proportions. Les producteurs de rhum cotisent à hauteur d'à peu près 200 000 euros par an, la pêche pour 140 000 euros, et les acteurs du bois en Guyane entre 81 000 et 100 000 euros par an.
Nous déclarons au titre de nos activités en France, selon les lignes directrices qui sont données par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), entre 300 000 et 400 000 euros de budget consacrés à nos actions à Paris, et nous sommes déclarés également au régime de transparence de l'Union européenne.
Nous sommes une équipe entre dix et douze personnes, en fonction de la présence de stagiaires. Quant à nos résultats, nous faisons du mieux que nous pouvons.