Oui, je connais bien cette entreprise et son dirigeant. Il n'y a évidemment aucun lien. Il travaille avec nous, mais il travaille avec tous les distributeurs et nous n'avons aucun lien capitalistique avec lui. C'est clair. Il y a même eu, à un moment donné, un bruit sur le fait que nous allions ou pouvions le racheter. Tout cela est faux.
Je rebondis sur ce qui a été dit sur le rapport. Pourquoi n'y a-t-il pas eu de transparence ? Ce n'est pas ça. Ce cabinet a eu un parti pris au moment où l'acquisition a été lancée, sans élément tangible concret. Quand il dit que tout le monde a été transparent, vous savez qu'il y a beaucoup d'opérateurs à La Réunion, les trois opérateurs qui ont été transparents sont les trois membres du consortium qui était l'un des candidats à la reprise et qui était évidemment très opposé au rachat. Ces trois groupes ont a priori transmis verbalement des éléments, mais tous les autres groupes, et numériquement c'est plus que les trois n'ont pas donné leurs chiffres.
Donc, il n'y a pas eu plus ou moins de transparence, il y a eu simplement des groupes, comme nous, mais comme d'autres, comme les affiliés Super U qui n'ont pas donné leurs comptes parce qu'ils ne vont pas donner les comptes de quelqu'un qui avait un parti pris très clair ou qui avait des liens extrêmement proches avec ce cabinet. C'est tout. Le deuxième rapport comporte des assertions complètement infondées et contrôlées par le jeu de ce mandataire qui nous contrôle en permanence et qui vérifie nos comportements vis-à-vis des fournisseurs.