Anne-Marie Geourjon, maître de conférences, responsable de programmes à la Fondation pour les études et recherches sur le développement international (Ferdi) :
Disons que la Martinique a pris des décisions qui permettaient déjà de neutraliser un peu les effets négatifs de l'octroi de mer. Mais ce n'est pas bien parce que cela se fait au travers de l'utilisation de mécanismes très complexes.