Je me sens ici en conflit d'intérêts, puisque lorsque – alors député – Hervé Berville a commencé à travailler sur ce sujet, il est venu me rencontrer pour me demander ce qu'il fallait intégrer dans la loi. J'ai donc été associée à certains aspects de la réflexion sur ce texte et, plus globalement, sur le rôle de la coopération internationale française. Comme vous, je considère que cette loi est positive et j'espère qu'elle peut constituer un modèle pour repenser le sujet dans d'autres pays. Dans la même mouvance que cette loi, une institution comme le FID a pu exister ; or le FID me semble être un immense succès.