En outre, le fait de réserver le dispositif aux nouveaux sapeurs-pompiers volontaires et non à ceux qui sont déjà en poste crée une rupture d'égalité discutable entre employeurs. Faudra-t-il qu'ils licencient leurs salariés sapeurs-pompiers volontaires pour les recruter de nouveau au 1er janvier 2024 ? Il y a là une certaine incohérence.