Le Puy-de-Dôme se voit doté de cinq postes alors que le besoin, dû à l'accroissement des décharges de direction, est de onze postes. Conséquences : des classes en milieu rural, notamment en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), vont fermer, alors que les effectifs sont en augmentation. Cette décision est en contradiction avec le volet « écoles situées en zone de montagne » de la loi « montagne » et avec la circulaire du 30 décembre 2011. Elle constitue une discrimination honteuse à l'égard des élèves ruraux !
C'est absolument inacceptable, monsieur le ministre ; si rien ne bouge, nous saisirons la défenseure des droits puis nous mettrons un bazar dont vous vous souviendrez !