La décision du Conseil d'État du 20 novembre 2020 relative aux AESH entraîne des situations compliquées. Ainsi, lorsqu'un élève est scolarisé dans une autre ville que la sienne, faute de classe ULIS (unité localisée pour l'inclusion scolaire) – comme c'est le cas d'une enfant de ma circonscription –, à quelle commune revient la charge financière de l'accompagnement pendant le temps périscolaire et la pause méridienne : à celle de résidence ou à celle d'accueil ? Que proposez-vous pour simplifier les choses ?