La digitalisation de la gendarmerie nationale permet de lutter contre la criminalité numérique, mais aussi de déployer des programmes comme NéoGend, par lequel des terminaux numériques sont fournis à tous les personnels d'active, civiques ou militaires, afin qu'ils restent connectés à l'administration centrale et à ses outils. Bien que les systèmes d'exploitation de la solution NéoGend aient été fournis et mis à niveau par l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), la sécurisation de ces dispositifs constitue encore un enjeu majeur, à plus forte raison à un an de la Coupe du monde de rugby et deux ans des Jeux olympiques de Paris 2024. Comment la garantir pour éviter notamment toute fuite de données ou cyberattaque susceptible de porter atteinte à la sécurité des sportifs et spectateurs présents à ces occasions ?