Et je considère que c'est heureux car je fais moi-même partie de ceux qui considèrent qu'ils ne sont pas assez nombreux à travailler – nous avons d'ailleurs écrit des rapports sur ce sujet au nom de la commission des lois.
Il s'agit non pas d'aliéner le détenu, pour reprendre votre vocabulaire, mais de préparer sa réinsertion par le travail et de lui permettre de garder un rythme social ,