C'est pourquoi l'Atigip – l'Agence du travail d'intérêt général et de l'insertion professionnelle des personnes placées sous main de justice – a des places à pourvoir. Cela pose la question du sens de la peine quand le travail d'intérêt général n'est pas effectué et envoie un message de faiblesse de la part de l'État.
Je conclurai, monsieur le ministre, en vous demandant si vous voulez bien me communiquer les statistiques dont vous disposez concernant le nombre de TIG prononcés ces cinq dernières années, combien ont été exécutés en totalité, partiellement ou pas du tout, et le sort des personnes qui ne l'ont pas exécuté.