Monsieur le rapporteur, je n'ai pas compris votre argument. Lorsqu'une personne est trouvée en état d'ivresse sur la voie publique, la procédure veut qu'elle soit amenée devant un médecin – presque systématiquement dans un services hospitalier – afin que lui soit remis un certificat de non-admission. Cet examen médical reste généralement superficiel, pour la simple raison qu'il est souvent très difficile de retenir l'individu pendant la consultation, qui donne souvent lieu à des violences à l'encontre du personnel hospitalier.
Ces personnes troublent la quiétude des patients – parfois même des enfants – et de l'ensemble du service hospitalier en hurlant dans les couloirs.