Je partage votre avis. L'interdiction de retranscrire est déjà gravée dans le marbre du texte. Vous souhaitez désormais que l'écoute soit interdite. Mais, je le répète, c'est infaisable, pour une raison toute simple : personne n'a le don de médiumnité. Si, demain – qu'à Dieu ne plaise – vous êtes téléphoniquement surveillé, vous pouvez appeler votre pharmacien, votre plombier, puis votre avocat. Il est techniquement impossible que l'écoute s'arrête uniquement pour ce dernier appel. C'est pourquoi je vous demande de bien vouloir retirer vos amendements. À défaut, j'y serai évidemment défavorable.