C'est la majorité socialiste qui, dans des circonstances difficiles, s'est rendu compte – parce qu'à l'époque une gauche républicaine était aux responsabilités – que les policiers et les gendarmes devaient pouvoir faire face tous les jours à ceux qui veulent tuer du flic.
Parce qu'un policier ne respecte ni les lois de la République ni la déontologie, doit-on jeter aux chiens tous les autres policiers de France ? Parce qu'un policier a fauté,…