Monsieur le ministre de l'intérieur et des outre-mer, face à ce chahut, à ce chaos voulu par certains, arriverez-vous encore à trouver les mots pour rassurer ces hommes et ces femmes, ces engagés du quotidien, de sorte qu'ils ne démissionnent pas, qu'ils n'abandonnent pas, qu'ils ne désespèrent pas ? Aujourd'hui, une partie de la représentation nationale préfère les montrer du doigt, au risque de les menacer.