Monsieur le président Houlié, je partage ce que vous dites de l'émotion qui est la nôtre à la suite de la mort de ce jeune homme, celle que nous devons témoigner en particulier à sa famille. Mais cette émotion ne peut en rien – je dis bien en rien – justifier les saccages, les pillages et les exactions auxquels nous avons assisté.
Dès vendredi, j'ai pris une circulaire de politique générale à l'attention des procureurs et des procureurs généraux de notre pays pour leur demander de la fermeté et de la réactivité.