Il y était fait le constat que l'immobilisme allait créer une nouvelle crise. Et nous y sommes. Il contenait de nombreuses réponses concrètes pour une réconciliation nationale. Malheureusement, ce fut un rendez-vous manqué. Certes des choses ont été faites, mais si peu ! Nous avons une crainte : que des solutions partielles soient adoptées et que l'on passe à autre chose, avant qu'une autre crise ne survienne.
Au contraire, il faut des solutions globales, forgées avec les élus locaux, les responsables associatifs, les policiers, les médiateurs, l'éducation nationale – ce que nous avons appelé « un conseil des sages ». Il convient de reprendre le rapport Borloo…