Mais il faut savoir que ces violences n'ont rien à voir avec une révolte des banlieues ! J'ai été à Nanterre, à Garges-lès-Gonesse, à Bezons, à Évry et à L'Haÿ-les-Roses ; j'ai échangé avec les élus et les habitants, et deux mots revenaient sans cesse : l'incompréhension et la colère vis-à-vis de ces auteurs de violences qui mettent à mal tous les efforts qui ont été faits pour la politique de la ville depuis des années, notamment durant le précédent quinquennat, pour rénover ces quartiers, pour y reconstruire des équipements publics et pour y renforcer l'accès aux services publics.
Vis-à-vis de la jeunesse, nous avons agi tout au long du précédent quinquennat