J'assume d'avoir travaillé dans des pays qui ne respectaient pas tous nos standards. Nous ne servons pas l'action de la France quand nous pensons, en tant que députés, avoir toujours raison ; mieux vaut tenter, modestement, d'être présents dans le monde, en faisant œuvre de diplomatie. L'action de notre pays à l'international dépend non de l'Assemblée nationale ni du Gouvernement, mais des Français établis à l'étranger qui œuvrent dans le monde.