Une compétition qui est aussi une opération marketing pour le pays organisateur, un événement regardé par la moitié de la planète.
Son organisation a quelques particularités qui ne devraient échapper à personne. Si certains l'ont qualifiée de coupe de la honte, ce n'est pas par goût des superlatifs ou de la provocation, ni par haine du ballon rond. Cher Vincent Ledoux, permettez-moi, comme vous, de citer Albert Camus qui disait que mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde.