Je tiens tout d'abord à souligner le travail important mené par la DIE au plan de l'immobilier.
Ce rapport porte sur le programme 348. Toutefois, comme l'indiquait Véronique Louwagie, il existe aussi un plan de relance, dont 2,7 milliards d'euros sont destinés à l'immobilier. Quelle coexistence sera-t-elle assurée entre les deux ? Le programme 348 a commencé en 2017-2018, avant la crise sanitaire, fondé sur des perspectives qui n'étaient pas celles d'aujourd'hui. Ce programme a-t-il évolué, en fonction des nouveaux modes de travail, de l'évolution de la relation à l'emploi ?
Une réflexion est-elle menée sur des investissements de l'État à plus court terme et à long terme ? Souvent, en comptabilité privée, on utilise l'amortissement par composant. Une réflexion est-elle conduite sur la façon dont il convient d'aménager l'immobilier de demain, notamment dans le cadre de la hausse des températures ? Les bâtiments sont-ils conçus dans le cadre d'investissements sur le long terme ? À court terme, une opération importante de relampage a été conduite. Quelles sont les projections à plus long terme ? Je félicite la DIE pour son travail : elle a su s'adapter et gérer à la fois le programme 348 et le plan de relance.