Vous avez raison d'évoquer le cas de la Biélorussie. J'ai croisé, au forum de Bratislava, la plus emblématique des représentantes de l'opposition biélorusse, avec laquelle nous entretenons des rapports constants, tout comme le Parlement puisque vous la recevez régulièrement.
L'opposition biélorusse réfléchit à la façon de construire des interactions plus poussées avec les États-Unis et avec l'Union européenne. Commencer à aborder ce sujet était d'ailleurs l'objet de notre rencontre à Bratislava.
Nous souhaitons construire une solution avec l'opposition biélorusse, en incluant tous ses représentants. Nous distinguons les représentants de l'opposition de la Biélorussie elle-même, laquelle est sous sanctions européennes, comme la Russie. Nous sommes conscients des menaces que ce pays représente et la France est à la manœuvre pour renforcer les sanctions envers le régime de la Biélorussie.