Vous avez évoqué l'influence de la Russie auprès d'élus français. En Géorgie, une affaire a révélé qu'une élue recevait tous les six mois des financements en provenance du budget central de la Fédération de Russie. Ce financement était maquillé en versement de droits de propriété intellectuelle pour un parent éloigné. Nous savions pertinemment que cela était faux, puisque les Russes ne respectent jamais les contrats. Il était donc très curieux qu'une femme politique géorgienne touche un versement russe sur ces droits, qui remontaient aux années 1970 ou 1980.