Nous suivons les développements de manière très attentive. Nous sommes en contact quotidien avec les deux pays belligérants. Cependant, la situation est difficile et des négociations sont en cours sur un éventuel traité de paix.
Depuis la phase violente de 2020, des problèmes demeurent à résoudre. Nous nous sommes engagés en faveur d'un processus de paix mais nous comprenons que la situation est loin d'être facile. Nous avons déjà entrepris plusieurs efforts de médiation et nous étions d'ailleurs les premiers à faire libérer des Arméniens détenus en Azerbaïdjan en échange de prisonniers au Haut-Karabagh. Nous avons également invité les ministres arméniens et azerbaïdjanais des affaires étrangères à Tbilissi, de même que les présidents des deux pays. Nous avons reçu une réponse positive de chacun d'entre eux et nous envisageons d'organiser cette réunion bientôt.
Nous sommes pleinement engagés auprès de nos voisins pour résoudre tous les problèmes en suspens, notamment les problèmes humanitaires. La paix et la stabilité dans le Caucase du Sud nous sont particulièrement chères.