Dans ce cadre, l'ambition française n'est pas de déployer en grand nombre des unités constituées, mais d'apporter une expertise technique et un appui opérationnel sur le haut du spectre de la menace, et ce auprès d'un partenaire peu préparé à la gestion de telles crises. Le Qatar a ainsi officiellement sollicité de la France l'aide d'environ 220 experts et pourrait exprimer, dans les prochaines semaines, des besoins complémentaires, à l'issue notamment d'un exercice final qui sera mené à Doha en octobre 2022.